La fraude découverte au sein de l’entreprise Veviba, géant de l’agro-alimentaire, soulève de nombreuses questions sur le secteur de la viande. En effet, le groupe Verbist, propriétaire de Veviba, représente 30 % du marché belge de la viande. La fraude a donc des retombées sur une part importante des éleveurs et des consommateurs du pays.
Les structures actives dans la filière viande ont eu tendance, ces dernières années, à se concentrer. En une trentaine d’années, la Wallonie a perdu la moitié de ses abattoirs, principalement des petites structures publiques ou des abattoirs de boucheries artisanales. Il en reste actuellement une trentaine, dont certains sont spécialisés dans une ou deux espèces animales. Le manque de lieux d’abattage est criant dans certaines provinces, notamment pour les volailles, les porcs et les ovins[i]. Un phénomène similaire s’observe pour les ateliers de transformation de la viande (actuellement une trentaine en Wallonie) et les boucheries (actuellement 1.000, environ, en Wallonie).
Cette tendance à la réduction des opérateurs et à l’accroissement des volumes par entreprise permet de réaliser des économies d’échelle et tourne ces industries vers de nouveaux marchés, notamment à l’export. Les grandes structures, dont le poids économique est important, sont également plus difficiles à contrôler. Notre viande est-elle encore dans les mains des éleveurs ? Dans celle des bouchers de proximité ? Et des consommateurs ? L’affaire Veviba n’est-elle pas l’occasion de réévaluer la filière ?
Nature & Progrès prône une relocalisation de la filière viande
Cette relocalisation doit avoir lieu dans l’espace, en mettant à disposition des éleveurs, des bouchers et des consommateurs des outils de proximité : lieux d’abattage, ateliers de transformation et espaces de commercialisation. Nombreux sont en effet les éleveurs qui souhaitent réduire les trajets nécessaires entre la ferme et l’abattoir, quitte même à reprendre en mains l’abattage au niveau de la ferme[ii]. Les boucheries de proximité sont également en déclin (-15 % entre 2008 et 2014[iii]) face au développement des grandes surfaces liées aux industries agroalimentaires. Le renforcement d’une production locale pour une consommation locale permettrait de préserver la richesse du métier de la boucherie et d’assurer la fraîcheur de la viande proposée au consommateur : pas besoin de congeler des lots de viande dans l’attente d’un marché à l’export favorable pour les écouler !
Cette relocalisation doit également concerner la gestion des outils : éleveurs, bouchers et consommateurs souhaitent, ensemble, redevenir maîtres de leur filière afin d’assurer la qualité des produits et d’établir un partenariat de confiance. L’éleveur attend du boucher de mettre en valeur, à travers ses techniques de transformation, la qualité de son travail et est fier de proposer son produit fini à un consommateur local plutôt qu’à un marché anonyme. Le boucher peut, grâce à une relation privilégiée avec l’éleveur, guider la finition de l’élevage en vue de donner à la viande, grâce aux techniques qu’il maîtrise, la meilleure qualité nutritionnelle, gustative et sanitaire à offrir au consommateur local. Enfin, le consommateur peut soutenir le savoir-faire de ces deux métiers, l’élevage et la boucherie, à travers l’achat de viande locale dont la qualité est garantie, et par cette occasion, redevenir acteur de la filière et non un simple acheteur.
Valorisons les acteurs de la filière !
Etre éleveur, ce n’est pas fournir des animaux engraissés à une industrie qui l’enverra sur un marché que je ne connais pas et avoir pour seul retour sur le travail les chiffres de consommation de viande. Etre éleveur, c’est choisir son abattoir de proximité, collaborer avec un artisan boucher et vendre sa viande à l’institutrice, au journaliste ou au garagiste et leur famille qui sont mes voisins.
Etre boucher, ce n’est pas faire la même découpe, le même mouvement, chaque jour, dans une industrie ou défilent des carcasses anonymes. C’est collaborer avec un éleveur, choisir sa bête, la découper et travailler la viande pour réaliser une diversité de produits que dégusteront les habitants de mon village.
Etre consommateur, ce n’est pas empiler des barquettes de viande dans une charrette de supermarché avant de payer à la caisse. Être consommateur, c’est découvrir et rencontrer les artisans de ma région, visiter l’éleveur et le boucher qui produiront ma viande de qualité, celle que j’aurai choisie à mon goût et selon mes convictions et affinités pour devenir acteur de mon alimentation.
Ne serait-il pas nécessaire de réintégrer ces valeurs dans la formation des éleveurs, bouchers et citoyens ?
Multiplions donc les outils de proximité et de taille raisonnable et plus sûrs au niveau sanitaire, issus du partenariat de producteurs, de bouchers et de consommateurs. Applaudissons, encourageons et soutenons les initiatives de diversification des éleveurs telles que les boucheries à la ferme, l’offre de colis de viande et la création de hall-relais. Le nombre de producteurs fermiers de viande est en croissance : on en compte aujourd’hui 208 en Belgique dont 63 en Wallonie. Les éleveurs proposant des colis de viande ne cessent également de se multiplier. Nature & Progrès est convaincue que cette évolution ne peut que contribuer à la valorisation du travail des éleveurs et du métier de la boucherie, et renforcera les liens et la confiance entre les artisans et les amateurs d’une viande de qualité.
Contacts
Boucher artisanal travaillant en tandem avec les éleveurs :
Nouveau scandale dans le secteur agricole qui bouleverse autant les consommateurs que les éleveurs. Les uns parce que de la viande à risque pour leur santé a été volontairement mise sur le marché dans le but d’un profit financier. Les autres frustrés par l’image négative que cette nouvelle crise donne au fruit de leur travail, la viande, un aliment issu d’un travail important de soins quotidiens apportés à des animaux, un métier déjà assez difficile.
N’est-ce pas le moment de rappeler au consommateur que des circuits alternatifs existent. Qu’il est aujourd’hui possible de se procurer de la viande en direct chez de nombreux éleveurs qui ont développé, soit des boucheries à la ferme, soit des colis de viande préparés par un partenaire boucher. Que cette relation de confiance entre producteur et consommateur apporte une meilleure garantie de la qualité de l’aliment, au centre de cette relation.
De nombreux éleveurs sont en difficultés dans des circuits qu’ils ne maîtrisent plus : après l’élevage, il y a le marchand, l’abattoir, l’industrie, la grande surface… Où ira donc la viande issue de leur bête et quel prix leur en donnera-t-on ? Le circuit court est une solution proposée aux éleveurs pour se réapproprier la maîtrise de leur filière, redévelopper un contact avec le citoyen et être (encore plus) fier de la qualité de l’aliment qu’il produit.
Ce nouveau scandale lié à l’industrie agro-alimentaire n’est-elle pas l’occasion d’encourager ces voies de diversification, sans doute bien plus bénéfiques, tant pour l’éleveur que pour le consommateur ?
Nature & Progrès se réjouit que la Wallonie œuvre vers un territoire délivré des pesticides avec le projet Générations Terre.
Oui, pour notre santé et celle de la terre : l’avenir de l’agriculture passe par le développement des alternatives pour remplacer les produits phytosanitaires .
Le bio ne cesse d’augmenter et répond à une demande forte des consommateurs et des producteurs
Les agriculteurs BIO ont mis au point des techniques permettant de cultiver sans pesticides.
Dans notre campagne « Vers une Wallonie sans pesticides, nous y croyons ! », Nature & Progrès propose la mise en place d’alternatives aux pesticides sur le territoire de la Wallonie. ( www.walloniesanspesticides.com )
Nous saluons la démarche de Générations Terre qui fonctionne sur le mode « Territoire ».
En effet le moment est venu de penser en ces termes. C’est un fait : les alternatives aux pesticides se développent.
Aujourd’hui de plus en plus de citoyens font le choix de travailler sans pesticides. Dès 2019, les communes opteront également pour ce choix.
Continuons à libérer notre environnement des pesticides !
C’est possible le glyphosate, par exemple, est avant tout un herbicide de confort et non de nécessité. Il peut être facilement remplacé par des techniques non chimiques .
Au niveau agricole il est principalement utilisé pour le traitement après récolte ou en pré-semis. Les techniques alternatives de désherbage existent en l’occurrence le travail du sol qui est tout aussi efficace que le désherbage chimique et de plus favorise la vie du sol et limite les possibilités d’érosion.
Le projet de Nature & Progrès « Vers une Wallonie sans pesticides nous y croyons » dépasse largement la sphère agricole et la sphère bio, c’est un véritable projet de société pour la Wallonie.
Nous défendons l’idée d’un environnement qui répond à la demande des citoyens et l’idée d’une démarche participative.
Travaillons ensemble pour faire évoluer notre région qui sera donc la première à œuvrer en ce sens et dont l’expertise pourra dès lors être valorisée. Sans oublier le levier potentiel que la Wallonie deviendra pour l’Europe.
Nature & Progrès a la volonté de rassembler tous ceux qui désirent opter pour une Wallonie sans pesticide pour travailler ensemble à la recherche et au développement d’alternatives permettant de libérer notre région des pesticides.
Dans le cadre de la campagne « Vers une Wallonie sans pesticides, nous y croyons ! », Nature & Progrès Belgique désire cheminer vers une Wallonie sans pesticides. Pour y arriver, Nature & Progrès met en avant les alternatives aux pesticides chimiques de synthèse. Il ne s’agit pas ici de réduire les doses de pesticides, d’améliorer les conditions d’utilisation mais bien d’opter pour un choix radical d’alternatives pour qu’à l’avenir notre environnement soit libéré des pesticides. On ne veut pas moins de pesticides, on n’en veut plus du tout! Aujourd’hui de plus en plus d’agriculteurs font le choix de travailler sans pesticides. En effet, l’agriculture bio, ne cesse d’augmenter en nombre de fermes (11,8% des fermes Wallonnes) et en surfaces (9,7% de la SAU). Le plan stratégique pour le développement de l’agriculture biologique en Wallonie à l’horizon 2020a pour objectif d’atteindre 18% de la surface agricole utile (SAU) en agriculture bio.Mais qu’en est-il des 82% restant ? Les techniques alternatives aux pesticides se développent principalement dans le secteur bio (désherbage mécanique, utilisation de variétés résistantes aux maladies, …).
Nature & Progrès, défenseur du secteur bio, souhaite toutefois œuvrer à la diffusion de ces techniques alternatives en dehors du secteur bio. Il restera toujours une agriculture non-bio. Toutefois, si nous voulons protéger les cultures bio des contaminations par les pesticides chimiques de synthèse et favoriser les insectes, microorganismes et plantes utiles dans nos campagnes, l’ensemble de l’agriculture doit être libérée des pesticides. Cependant, dans certaines cultures « pesticivores », les techniques alternatives ne suffissent pas. Parfois, il est aussi nécessaire d’aller vers d’autres systèmes agricoles.
Le projet « Vers une Wallonie sans pesticides, nous y croyons ! » n’a pas d’équivalent en Europe. En effet, les politiques jusqu’ici définies dans les autres pays parlaient de réduction des pesticides et cela n’a pas amélioré la situation de notre environnement, de notre santé ou de la rentabilité de l’agriculture: on parle de réduire les quantités de produits utilisées (mais en travaillant parfois avec des produits plus nocifs à de faibles doses !), de travailler sur les conditions de pulvérisation pour limiter les dérives dans l’environnement,… Finalement, la recherche d’alternatives pour se passer purement et simplement des produits passent au second plan.
Le projet dépasse largement la sphère agricole et la sphère bio, c’est un véritable projet de société pour la Wallonie.
Nature & Progrès défend l’idée d’un environnement qui répond à la demande des citoyens et l’idée d’une démarche participative. Travaillons ensemble pour faire évoluer notre région qui sera donc la première à œuvrer en ce sens et dont l’expertise pourra dès lors être valorisée. Sans oublier le levier potentiel que la Wallonie deviendra pour l’Europe. Nature & Progrès a la volonté de rassembler tous ceux qui désirent opter pour une Wallonie sans pesticide pour travailler ensemble à la recherche et au développement d’alternatives permettant de libérer notre région des pesticides.
Actuellement, nous remarquons que 34% des surfaces en Wallonie sont recouvertes de forêts et/ou de cultures en agriculture biologique où l’utilisation des pesticides chimiques de synthèse est déjà interdite. 19% sont des terres bâties non concernées par les pesticides ou bientôt libérées des pesticides (espaces publics et jardins). Nature & Progrès souhaite continuer à œuvrer à la conscientisation en vue d’élargir les surfaces sans pesticides chimiques de synthèse. Si l’application de pesticides dans toutes nos prairies s’arrêtait, nous passerions de 52% à 72% de surfaces sans pesticides. Les autres cultures agricoles devraient suivre ensuite. Après les prairies, il faudrait libérer les 3% de cultures de maïs et les 11% de cultures de céréales, ce qui nous ferait passer de 72% à 87% du territoire wallon sans pesticides. Enfin, il nous resterait 13% de surfaces d’autres cultures pour arriver à une Wallonie libérée des pesticides. Ce projet est naturellement très ambitieux. Si nous pouvions déjà commencer par quelques territoires libérées des pesticides, cela serait déjà un bon début.
Nature & Progrès entame une série de rencontres en ferme entre producteurs et consommateurs pour proposer les alternatives aux pesticides.
Des rencontres en ferme ont eu lieu fin 2017 sur les alternatives aux pesticides en prairie.
Un premier colloque aura lieu ce vendredi 16 mars à Surice pour parler des alternatives aux pesticides en prairie ainsi que de présenter la suite de notre campagne.
Pour plus d’infos et vous inscrire au colloque, rdv sur www.walloniesanspesticides.com.
Les dates et lieux des prochaines rencontres en ferme seront bientôt disponibles sur le site.
Nature & Progrès veut relever le défi d’une Wallonie libérée des pesticides.
Nous croyons qu’ensemble, c’est possible !
Contact presse :
Marc FICHERS, secrétaire général de Nature & Progrès
Tél. 081/32.30.52 – GSM. 0473/65.36.32
Anne-Sophie GODART, chargée de communication de Nature & Progrès
Tél. 081/32.30.53 – GSM. 0479/27.64.74
Nous croyons que l’avenir de nos régions est sans pesticides.
C’est d’ailleurs ce que nous portons dans notre campagne « Vers une Wallonie sans pesticides, nous y croyons ! » qui vise à proposer les alternatives aux pesticides dans nos cultures.
Aujourd’hui de plus en plus d’agriculteurs font le choix de travailler sans pesticides. En effet, l’agriculture bio, ne cesse d’augmenter en nombre de fermes (11,8% des fermes Wallonnes) et en surfaces (9,7% de la SAU). Le plan stratégique pour le développement de l’agriculture biologique en Wallonie à l’horizon 2020 a pour objectif d’atteindre 18% de la surface agricole utile (SAU) en agriculture bio. Mais qu’en sera-t-il des 82% restant ?
Les techniques alternatives aux pesticides se développent principalement dans le secteur bio (désherbage mécanique, …).
Nature & Progrès, défenseur du secteur bio, souhaite toutefois œuvrer à la diffusion de ces techniques alternatives en dehors du secteur bio. En effet, si nous voulons protéger les
cultures bio des contaminations par les pesticides chimiques de synthèse et favoriser les insectes, microorganismes et plantes utiles dans nos campagnes, l’ensemble de l’agriculture doit être libéré des pesticides. Par contre, dans certaines cultures « pesticivores », les techniques alternatives ne suffisent pas, ce qui fait que par exemple la culture de betterave sucrière est très compliquée en bio. Il est parfois donc nécessaire de changer de modèle agricole et diversifier la production agricole en optant pour des cultures « non-pesticivores ». De plus, nous constatons que même en bio, certaines cultures ne laissent plus de place aux fleurs sauvages source de nourriture pour nos pollinisateurs comme nos abeilles mellifères. Pourtant, ces dernières produisent du miel, une façon de diversifier la production de sucre dans nos régions tout en respectant l’environnement et en augmentant la biodiversité.
Nature et Progrès propose donc son « Plan Bee » : Etudier la faisabilité agronomique, apicole et économique de semer et planter des plantes mellifères sur des surfaces de 10 à 15 ha pour produire du miel afin de diversifier la production de sucres en Wallonie tout en respectant l’environnement et en augmentant la biodiversité dans nos campagnes. D’ailleurs, en plus d’avoir un pouvoir sucrant plus élevé que le sucre de betterave, le miel a des propriétés nutritionnelles nettement meilleures que lui.
Une végétation permanente et non permanente permettant de nourrir les abeilles mellifères toute la saison doit être mise en place. Pour cela Nature et Progrès recherche des surfaces agricole de 10 à 15 ha pour y semer des plantes annuelles, bisannuelles et vivaces (phacélie, trèfle blanc, colza, pissenlit, coquelicot, centaurée, bleuet, sainfoin,…). et ainsi augmenter la proportion de miel produite dans les champs quand une étude française montre qu’en milieu agricole, 75% de la nourriture des abeilles provient des ligneux tellement les champs, prairies et leurs abords sont pauvres en plantes nectarifères. Si possible, si l’environnement proche contiendra contient déjà des arbres ou arbustes mellifères comme le saule marsault, le pommier, le cerisier, le tilleul, le châtaignier, le cornouiller, l’aubépine,… pour diversifier les sources de nectar et de pollen et garantir une disponibilité sans interruption tout le long de la saison. Nature et Progrès fait donc un appel aux terres agricoles de 10 à 15 ha pour implanter des cultures de fleurs mellifères et donner accès à des apiculteurs pour y installer des ruches.
Si vous voulez soutenir le projet mais que vous ne possédez pas de grandes surfaces, il est possible de participer au projet en semant des fleurs sur des plus petites surfaces pour nourrir ces pollinisateurs indispensable dans nos campagnes. L’abeille mellifère ou domestique est bien connue de tous, notamment en raison des produits dérivés de la ruche (miel, propolis, pollen, etc.). A côté d’elle, environ 400 autres espèces d’abeilles répertoriées en Belgique jouent un rôle tout aussi essentiel que celui de l’abeille mellifère en matière de pollinisation. Cette biodiversité fonctionnelle rend une multitude de services à nos écosystèmes. Parmi ces abeilles, outre l’abeille mellifère, on distingue deux grands groupes d’espèces : les bourdons et les abeilles sauvages solitaires et sociales. Nature et Progrès propose donc de soit semer des fleurs pour nourrir les pollinisateurs en général ou soit de semer des fleurs pour nourrir les abeilles mellifères en vue de produire du miel. Un environnement sain et équilibré avec un flore mellifère normale peut héberger 2 ruches/ha. La mise en place de cultures dédiées à la production de miel, avec un potentiel de production nettement supérieur (les légumineuses sont considérées comme pouvant produire quelques centaines de kilo de miel/ha) pourrait permettre d’augmenter la densité de ruches mais nous veillerons à ne pas dépasser ces 2 ruches/ha pour limiter la pression sur les pollinisateurs sauvages.
Le projet dépasse donc largement la sphère agricole et la sphère bio, c’est un véritable projet de société pour la Wallonie. Nature & Progrès défend l’idée d’un environnement qui répond à la demande des citoyens et l’idée d’une démarche participative. Travaillons ensemble pour faire évoluer notre région qui sera donc la première à œuvrer en ce sens et dont l’expertise pourra dès lors être valorisée.