Des réductions qui n’ont de drastiques que le NOM !
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Des réductions qui n’ont de drastiques que le NOM !
Nature & Progrès déplore les mesures insuffisantes reprises dans ce projet d’arrêté. En effet, les mesures exposées n esont rien de plus que des pratiques de bon sens ! cela ne changera rien aux pratiques habituelles qui faut il le rappeler sont responsables de dérives dans l’environnement
Les applications actuelles des pesticides se font avec dérives puisque nous retrouvons des pesticides dans l’environnement et cela est nocif pour la biodiversité et pour notre santé !
Revenons sur les éléments développés dans cet article:
1) L’obligation d’utiliser des buses qui réduisent les dérives de minimum 50%
Les buses qui réduisent les dérives de 50% devraient être la norme pour les traitements en plein champs et en zones d’habitats, il faudrait opter pour un minimum de 75% de réduction de dérive. C’est aberrant de continuer à pulvériser avec du matériel qui ne régule pas la dérive !
2) L’interdiction de pulvériser lorsque la vitesse du vent est supérieure à15km/h
QUI pulvérise lorsque le vent est supérieur ? Les études mettent en avant l’aberration de traiter lorsque le vent est supérieur !
Les champs qui continuent à être traités aux pesticides ne peuvent être source de pollution!
Le Gouvernement doit prendre pour protéger les riverains des dérives de pesticides, faut il le rappeler ce sont des poisons!
Les pesticides utilisés pour traiter les champs doivent rester sur les terrains traités. Nous plaidons donc pour la mise en œuvre de techniques de pulvérisations anti-dérives.
Si pulvérisations il y a, elles doivent être réalisées sans dérives. Pensons à la qualité de vie des riverains !
3) Est-il normal de terminer une pulvérisation à la limite des pelouses quand on voit les dérives de pulvérisation? Il faut une interdiction de traitement autour des habitations !
Nous demandons la mise en place, le long des zones d’habitat, de bandes tampons de 10 mètres de large consacrées à des cultures ne demandant pas de traitement aux pesticides. Ces cultures servant donc à isoler des zones d’habitation les terrains traités aux pesticides.
Aucun riverain ne demande à ce qu’on traite les cultures placées près de chez lui !